Griefeur froid
La mort du premier enfant de Catherine, Anna, née au milieu des spéculations sur sa paternité, a révélé une facette surprenante de la personnalité de Catherine. Au lieu de pleurer extérieurement cette perte, Catherine semble aller de l’avant sans s’attarder sur la tragédie. Ce détachement émotionnel apparent est devenu une caractéristique du caractère de Catherine, la distinguant des attentes conventionnelles en matière de deuil et de perte. La relation tendue avec Peter persiste, marquée par le scepticisme et la suspicion à l’égard des grossesses ultérieures de Catherine.
La réaction de Catherine face à une tragédie personnelle préfigure sa capacité à relever les défis politiques de manière pragmatique et calculée. Au fil des événements, sa résilience et son esprit stratégique joueront un rôle essentiel dans l’élaboration de son héritage en tant que formidable souveraine.